Nous faisons l’hypothèse que tout évènement, pensée, acte ou émotion s’enregistre dans l’univers et alimente un vaste champ d’informations. Son appellation varie selon les auteurs ou courants : inconscient collectif (C.G. Jung), champ morphique (Rupert Sheldrake), mémoires « akashiques » (société théosophique), corps de souffrance (E. Tolle), réalité non locale, etc. Ces champs d’informations sont « organisés » par fréquences et vibrations.
Ainsi, lorsque nous alimentons une pensée de tristesse, par exemple, nous pouvons entrer en résonance avec « l’amas » de tristesse de l’univers, ce qui a pour effet de le rendre encore plus dense et d’augmenter les chances que d’autres personnes puissent entrer en résonance avec lui. Inversement, à titre d’exemple, lorsque nous tentons de pacifier des rancœurs en envoyant des fréquences d’amour à un ennemi, cela peut « envoyer des ondes de pardon » dans l’univers, augmentant le champ énergétique de l’amour qui sera ainsi plus facilement « capté » par ceux qui se lancent dans la même entreprise.
Ces interactions subtiles peuvent s’opérer consciemment ou inconsciemment. La fonction des rites peut aussi être d’entretenir en conscience la mémoire symbolique collective, par exemple la reproduction du geste de l’eucharistie à travers les siècles ou tout simplement offrir une rose à la Saint-Valentin. C’est aussi à travers des champs d’informations que les archétypes peuvent nous influencer.
Comme ces champs d’informations sont sous formes d’onde, le Fenyx peut les capter comme une radio capte les ondes et décode les informations portées par celles-ci.